Tematis : Combler le fossé entre les rêves et la réalité

Dans un monde qui se sent souvent entravé par des limites et des aspects pratiques, une entreprise ose défier le statu quo, repousser les limites de l’imagination créatrice humaine et donner aux individus les moyens de réaliser leurs ambitions. Tematis, une entreprise visionnaire, s’est imposée comme leader dans le domaine de la transformation des objectifs en vérité. En utilisant des innovations technologiques de pointe, des expériences immersives et une compréhension sérieuse des désirs de l’être humain, Tematis ouvre un monde de possibilités illimitées. Dans les paragraphes suivants, nous découvrons le travail remarquable de Tematis, en accentuant son impact transformateur et l’importance de ce type d’entreprises dans la société d’aujourd’hui.

Tematis pense que chaque individu possède un potentiel inexploité, généralement caché sous les contraintes de la vie quotidienne. L’entreprise vise à libérer ce potentiel en créant des rencontres distinctives et immersives qui transfèrent les individus dans le royaume de leurs rêves. Qu’il s’agisse d’explorer des galaxies lointaines, de se glisser dans la peau de personnages historiques ou de vivre des aventures incroyables, Tematis a compris que ces expériences ont le pouvoir d’encourager, de motiver et d’enflammer la passion qui sommeille en chacun.

Le succès de Tematis repose sur sa capacité inégalée à fusionner les technologies de pointe avec l’émotion humaine. En combinant la réalité en ligne, la réalité augmentée, l’intelligence artificielle et d’autres instruments innovants, Tematis crée des expériences qui vont au-delà du simple divertissement. L’entreprise élabore des récits immersifs qui touchent au plus profond des besoins humains, incitant les hommes et les femmes à affronter leurs peurs, à s’approprier leurs objectifs et, en fin de compte, à grandir en tant qu’individus. Grâce à sa combinaison unique de technologie et de narration, Tematis fait passer les activités de simples fantasmes à des voyages d’adaptation à la vie.

Dans une communauté où tout va très vite, il est facile de se laisser happer par le quotidien et de perdre de vue ses rêves et ses aspirations. Des entreprises comme Tematis nous rappellent que la recherche de la joie et de l’épanouissement personnel ne doit pas s’ajouter aux routines banales. Voici pourquoi ce type d’entreprise est nécessaire :

Inspirer la vue et la croyance : Le mode de vie de Tematis nous rappelle que nos ambitions sont importantes et qu’elles valent la peine d’être poursuivies. En offrant la possibilité de rencontrer et de découvrir ses ambitions, Tematis incite les individus à viser l’incroyable.

Autonomisation et découverte de soi : Tematis responsabilise les gens en leur offrant un espace sûr pour l’expression et la découverte de soi. Grâce à leurs activités, les gens peuvent repousser leurs limites, affronter leurs peurs et découvrir leur véritable potentiel.

Évasion et soulagement de la pression : Dans un monde de plus en plus exigeant, les expériences immersives proposées par Tematis constituent une échappatoire salutaire. Elles permettent aux individus de se déconnecter brièvement de la réalité, d’atténuer l’anxiété et de redonner de l’énergie à l’esprit et au mental.

Étudier et se former : Tematis va au-delà du divertissement, profitant de ses activités pour éduquer et éclairer. Les simulations historiques, les aventures scientifiques et les immersions culturelles offrent des possibilités éducatives utiles, faisant de l’étude une procédure agréable et immersive.

Innovation et développement technologique : Des entreprises comme Tematis sont à la pointe de l’innovation technologique. Elles repoussent les limites de ce qui est possible, conduisant un véhicule de progrès dans l’actualité virtuelle, la vérité augmentée, et l’IA, et motivant d’autres progrès dans ces domaines d’emploi.

Tematis est un exemple éclatant d’une entreprise qui ose désirer grand en aidant les autres à faire de même. Grâce à leur approche impressionnante, ils permettent aux hommes et aux femmes de transcender leurs limites et de réaliser leurs rêves de manière incroyable. Dans un monde où les aspects pratiques prennent souvent le dessus, des entreprises comme Tematis nous rappellent qu’il est important de nourrir nos aspirations, d’explorer l’inconnu et d’embrasser l’extraordinaire. À mesure que la société évolue, l’existence d’entreprises qui aident les gens à réaliser leurs ambitions devient de plus en plus nécessaire, rappelant avec force que l’esprit de l’homme est capable de réalisations illimitées.

Le mur du son et les avions de chasse

Les avions militaires qui franchissent le mur du son sont un phénomène qui fascine les professionnels et les techniciens depuis des décennies. Le mur du son, également connu sous le nom de « barrière sonique », avion de chasse est une expression utilisée pour décrire la transition entre les vitesses subsoniques et supersoniques. Le terme a été inventé pour la première fois dans les années 1940 lorsque les aviateurs militaires ont commencé à rencontrer des effets sonores inattendus alors qu’ils s’approchaient de la vitesse de l’air. Dans cet article, nous allons explorer les recherches sur le mur du son et la manière dont les avions des forces armées sont créés pour le franchir.

La vitesse du son est d’environ 343 mètres par seconde (ou 1 235 kilomètres par heure) dans l’air au niveau de la mer et à 20 degrés Celsius. Lorsqu’un objet se déplace à une vitesse similaire ou supérieure à la vitesse du son, il génère une onde de détresse devant lui. C’est cet influx de choc qui est à l’origine du puissant « bang sonique » que l’on observe au sol chaque fois qu’un avion franchit le mur du bruit.

L’onde de choc est créée par la compression des molécules d’air devant le sujet. Au fur et à mesure que l’objet se déplace de plus en plus vite, l’air devant lui est de plus en plus comprimé, ce qui crée une onde de choc plus importante. Lorsque l’objet atteint la vitesse du son, l’onde de choc devient un cône constant de flux d’air comprimé qui s’étend derrière l’objet. Ce cône d’atmosphère comprimée est à l’origine du bang sonique. Les avions de l’armée de terre conçus pour franchir l’obstacle sonore sont spécifiquement fabriqués avec des caractéristiques qui leur permettent d’atteindre des vitesses supersoniques tout en conservant leur stabilité et leur sécurité. Cet objectif est certainement atteint grâce à une combinaison de facteurs, notamment la forme de l’avion, la conception de ses moteurs et ses performances aérodynamiques globales.

Pour atteindre des vitesses supersoniques, les avions militaires ont besoin de moteurs puissants qui génèrent une poussée suffisante pour vaincre la traînée et d’autres causes aérodynamiques. Nombre de ces avions sont équipés de postcombusteurs, qui injectent du carburant supplémentaire dans l’échappement du moteur afin d’en améliorer la poussée et de lui permettre d’atteindre rapidement des vitesses supersoniques.

En outre, la forme et la conception de l’avion sont soigneusement étudiées pour garantir sa stabilité et son contrôle à des vitesses plus élevées. Par exemple, les avions conçus pour franchir l’obstacle sonore se caractérisent souvent par des ailes qui peuvent être repoussées en perspective, ce qui minimise la traînée et augmente la portance. La forme de l’avion peut également être conçue pour réduire les effets des ondes de choc ainsi que d’autres facteurs aérodynamiques susceptibles de provoquer une instabilité à des vitesses importantes. L’une des principales caractéristiques des avions de l’armée de terre qui leur permet de franchir la barrière audio est leur aile. Ces avions sont le plus souvent dotés d’ailes en flèche, ce qui permet de réduire la traînée et d’augmenter la portance à grande vitesse. Les ailes sont également conçues pour être fines et légères, ce qui diminue le poids de l’avion et lui permet d’aller plus vite.

Les moteurs constituent une autre caractéristique importante des avions militaires qui franchissent le mur du bruit. Ces avions sont généralement équipés de postcombusteurs, des dispositifs qui injectent de l’essence dans le flux d’échappement du moteur afin d’augmenter la poussée. Cela permet à l’avion d’atteindre plus rapidement des vitesses supersoniques et de les maintenir pendant de longues périodes.

Le fait que les avions militaires franchissent le mur du bruit est en fait un exploit remarquable de la technologie et de la science. Ces avions sont conçus pour être rapides, stables et sûrs à grande vitesse, et ils sont équipés de moteurs puissants et de caractéristiques aérodynamiques qui leur permettent de franchir facilement le mur du son. Au fur et à mesure que la technologie s’améliore, il est probable que nous verrons des avions militaires encore plus perfectionnés, capables de battre de nouveaux records de vitesse et de repousser les limites du possible.

L’utilisation des hallucinogènes en médecine

Les hallucinogènes sont une série de médicaments psychoactifs qui produisent des changements mentaux à court terme qui incluent une perception sensorielle altérée et des états de conscience oniriques. Pendant des siècles, les éléments hallucinogènes ont été liés à une rencontre mystique profonde ; le Rigveda mentionne une substance végétale connue sous le nom de Soma, qui, lorsqu’elle est consommée, produit des visions étonnantes du paradis. La plupart des chercheurs pensent que le médicament était un hallucinogène, bien que la plante exacte ne soit pas identifiée à l’époque moderne. Les secrets d’Eleusis, une ancienne routine de la Grèce antique qui a persisté pendant près de 2 000 ans, étaient également axés sur une boisson, connue sous le nom de kykeon, qui était capable de produire de nouvelles revendications de conscience. Dans les Amériques, les Aztèques utilisaient une variété de substances hallucinogènes dans des rituels religieux et sociaux. Dans les années 50 et 60, les hallucinogènes avaient fait l’objet d’importantes recherches scientifiques. L’une des recherches les plus connues était ce qu’on appelle le Grand Vendredi Essayez les choses, dans lequel 20 étudiants en théologie ont reçu de la psilocybine hallucinogène ou peut-être un placebo lors d’un service religieux du vendredi saint. Les étudiants qui ont obtenu de la psilocybine ont noté des rencontres religieuses intenses. L’hyperlien apparent entre la consommation d’hallucinogènes et la rencontre spirituelle a conduit certains chercheurs à rechercher les utilisations potentielles des hallucinogènes comme remède aux problèmes psychiatriques tels que la toxicomanie, l’anxiété et les troubles dépressifs. L’utilisation d’hallucinogènes dans les études scientifiques s’est accompagnée de leur prolifération dans la contre-culture en tant que médicaments de loisir. L’utilisation récréative généralisée d’hallucinogènes dans la culture « hippie » a provoqué une réaction culturelle et politique qui a finalement conduit à la criminalisation de ces drogues dans le cadre de l’action Managed Substances Take de 1970 ; cette législation a également eu pour résultat de supprimer la plupart des études scientifiques concernant les hallucinogènes. Après une longue absence, les hallucinogènes ont commencé à réapparaître dans les études technologiques à la fin des années 1990. Les nouvelles études, qui ont examiné les utilisations curatives des hallucinogènes pour une variété de problèmes, ont déjà été menées avec une meilleure rigueur méthodologique et une meilleure attention à la sécurité individuelle que leurs prédécesseurs dans les années 1960. La plupart des recherches ont été limitées, car les hallucinogènes continuent d’être fermement gérés, et le gouvernement américain n’identifie aucune utilisation médicale légitime et ne fournira donc aucun financement pour l’étude. Mais les études scientifiques ont généralement qualifié leurs premiers résultats de très prometteurs. Par exemple, des études sur des personnes atteintes de maladies en phase terminale ont révélé que les expériences magiques causées par la psilocybine ont créé des améliorations plus puissantes et plus durables des signes et symptômes de dépression et d’anxiété des patients que les traitements traditionnels. Hallucinogène, substance qui crée des résultats psychologiques généralement associés à des phénomènes tels que des objectifs ou une exaltation spirituelle ou à des troubles mentaux tels que la schizophrénie. Les hallucinogènes produisent des modifications dans la compréhension, la pensée et la sensation, allant de distorsions de ce qui est perçu (illusions) à des éléments de détection dans lesquels il n’y en a pas vraiment (hallucinations). Les hallucinogènes augmentent les impulsions sensorielles, mais cela est souvent associé à une perte de contrôle de ce qui est qualifié. Les médicaments psychopharmacologiques qui ont suscité un intérêt et une controverse prévalents sont ceux qui produisent des aberrations marquées dans le comportement ou la compréhension. L’un des plus courants est le diéthylamide de l’acide D-lysergique, ou LSD-25, qui était initialement produit à partir de l’ergot (Claviceps purpurea), un champignon du seigle et du blé entier ; la mescaline, principe actif du cactus peyotl (Lophophora williamsii), qui se développe dans le sud-ouest de l’U . S. et le Mexique ; et la psilocybine et la psilocine, qui proviennent de certains champignons frais. D’autres hallucinogènes sont constitués de bufoténine, initialement isolée de la peau des crapauds ; harmine, de vos téguments de l’herbe de la région du Moyen-Orient et de la Méditerranée ; ainsi que les composés artificiels méthylènedioxyamphétamine (MDA), méthylènedioxyméthamphétamine (MDMA) et phencyclidine (PCP). Le tétrahydrocannabinol (THC), le composant actif du cannabis, ou cannabis, obtenu à partir des feuilles et des sommets de la végétation du genre Cannabis, peut également être parfois classé comme hallucinogène. Traditionnellement, les communautés indigènes de l’hémisphère occidental traditionnel utilisaient une végétation contenant des éléments psychédéliques. Les champignons frais hallucinogènes du Mexique étaient considérés comme sacrés et étaient connus des Aztèques sous le nom de « chair de dieu ». Le peyotisme a finalement fusionné avec le christianisme, et l’église locale des États-Unis a été créée en 1918 pour protéger le peyotisme en tant que type de culte. Le désir technologique pour les hallucinogènes s’est développé lentement. La mescaline a finalement été éloignée en tant que principe actif du peyotl en 1896. Ce n’est qu’en 1943, lorsque le chimiste suisse Albert Hofmann a involontairement consommé une préparation artificielle de LSD et a maîtrisé ses effets psychédéliques, que la quête d’une substance naturelle responsable de la schizophrénie est devenue répandue. Gordon Wasson, un banquier et mycologue new-yorkais, s’est concentré sur les pouvoirs des champignons frais mexicains en 1953, ainsi que le principe actif s’est rapidement avéré être la psilocybine.

Liban: la faillite

Pour l’instant, comme pour encore longtemps, les individus libanais sont condamnés à attendre un indifférent, insolent et insidieux pour accomplir l’extrêmement dur : finir leur propre train de vie. Les leaders libanais ne peuvent pas faire ce genre de chose. Au lieu de cela, les leaders libanais se comporteront comme par le passé. Ils vont fléchir, pas craquer : Exploitant leur propre fluidité intercommunale quand c’est possible et se consolidant pour sauvegarder leur position au sommet d’un ordre quand c’est nécessaire, ils vont donc éviter toute répression tous azimuts et changement positif. Et ils continueront toujours à essayer de gagner du temps avec de l’argent qui n’est pas le leur, en distribuant étroitement les avantages tout en déplaçant les fardeaux en général, pour sauver l’appareil, pourtant possible, à chaque nouvelle conjoncture – que ce soit une révolte politique ou peut-être un défaut de paiement de la dette financière. , une conférence mondiale de négociation ou d’aide, ou des élections nationales sur lesquelles (certains) d’autres se fixent néanmoins de manière myope parce que la fin, plutôt que le début, du processus de changement. Mis à part le fait de vaciller et de refuser de former un gouvernement, les dirigeants libanais ne se sont pas non plus impliqués de manière proactive dans des initiatives de plus petite taille concernant des problèmes particuliers ou des dialogues somptueux d’époques révolues. Ils ne se sont certainement pas préparés à s’éliminer eux-mêmes du pouvoir, à changer d’appareil, ou bien à changer leur comportement de telle manière que – comme le dit un enseignement – « s’attaquent aux fondements de leur impact ». Quand et s’ils peuvent être contraints de changer quelque chose, ils ne feront que le moins possible, aussi progressivement que possible – et, même ainsi, concocteront des triomphes de type et remarqueront plus que le composé et l’esprit. D’autres personnes feront probablement la même chose aussi. Leur État et leur institution financière centrale, par exemple, n’ont pas brusquement cessé l’aide au secteur public général grâce à laquelle ils ont pu continuer à stabiliser la culture à court terme tout en perdant des sources et de l’adaptabilité à long terme : un ancrage monétaire partiel, un taux commercial officiel et prix bancaire; subventions pour les biens et services fondamentaux; l’argent assure à des tarifs préférentiels pour les importateurs de repas, de carburant et de médicaments ; suremploi grave et inflexibilité au sein de l’administration publique générale; des arrangements capitalistes de copinage inefficaces, voire illégaux dans chaque industrie ; ainsi que d’autres directives qu’ils peuvent avoir truquées pour protéger les morceaux d’un système sous le stress. Pourquoi? À juste titre, ils savent depuis longtemps qu’ils sont confrontés à une option difficile – une option qui en dit long sur leur réflexion et leur intuition politique. Lorsque la condition et la banque centrale finissent soudainement leurs politiques, elles risquent de déclencher ce que leurs conseillers appellent «une catastrophe instantanée». Lorsque l’État et la principale institution financière maintiennent leurs politiques, ils peuvent gagner du temps supplémentaire – sans achat durable et sans toujours acheter une échappatoire, mais au moins pour éviter une catastrophe de crises aggravantes qu’ils ont léguées à leurs individus. Et, ainsi, les dirigeants libanais continuent de faire ce qu’ils ont fait pendant des décennies : se concentrer sur les besoins instantanés par le biais de politiques réactives, contre-productives et déformées, tout en hypothéquant l’avenir de décennies successives de Libanais. Pire encore, les dirigeants libanais viennent de basculer dans un plan effronté et maladroit vers un autre. En voici une seule : avec le temps, les leaders libanais ainsi que la Banque mondiale ont décidé de deux mesures différentes pour aider les personnes vulnérables et gérer la pandémie en cours au Liban : un prêt financier de 246 millions de dollars pour aider 800 000 Libanais pauvres avec une aide en espèces et un prêt de 34 $ programme de millions de dollars pour financer, importer et suivre la distribution des vaccins COVID-19 au Liban. Le même jour, en janvier 2021, les dirigeants libanais se sont acquittés d’examiner des lois pour approuver le prêt plus important tout en exploitant secrètement un programme pandémique plus petit. En effet, des dizaines de dirigeants libanais et leurs conseillers ont expérimenté les vaccins usagés avant leur tour, dépassant les 700 000 personnes autorisées à se faire vacciner. S’aidant silencieusement, ils n’ont même pas fait semblant de le faire dans le cadre d’une campagne visant à créer un exemple pour votre grand public. Après que les comités parlementaires appropriés, les groupes d’experts, les syndicats de la santé ainsi que les représentants d’institutions mondiales aient mis en garde contre « de nombreuses violations », le vice-président du parlement a lancé des tirades télévisées, s’est moqué des représentants d’organisations internationales et s’est engagé dans une démagogie à part entière autour de la question. . Dans le même temps, le ministre intérimaire de la Santé publique – un autre garçon de courses se faisant passer pour un gars, dans un cabinet, un parlement et une bureaucratie remplis de ces petits pêcheurs – est également apparu à la télévision, illustrant sa capitulation en tant que décision et sa flagornerie impressionnante en tant que prudence. Le tout dans une journée de travail, pour ces dirigeants du Liban.

Google fera payer la police pour vos informations

Google a annoncé qu’il commencerait à inculper les organismes gouvernementaux américains chargés de l’application des lois pour les demandes de divulgation d’informations juridiques, y compris les citations à comparaître et les mandats de perquisition, liés à ses consommateurs. L’entreprise obtient chaque année un grand nombre de pétitions d’organes gouvernementaux aux États-Unis et elle a choisi de facturer l’aide pour «compenser les coûts» liés à la production des détails. Le New York Times rapporte que les moteurs de recherche ont envoyé une découverte présentant les nouveaux coûts, qui ont pris effet le 13 janvier, aux officiers de police. Les frais sont légaux, car la réglementation fédérale américaine autorise les entreprises à facturer des frais de remboursement pour ces besoins, et ils ne sont pas nouveaux pour Google. Conformément au Times, l’organisation a facturé pour répondre aux besoins d’informations juridiques auparavant, et ce n’est pas la seule véritable entreprise qui coûte pour ce type de travail. Aux États-Unis, agence SEO Lille les entreprises de systèmes cellulaires demandent depuis de nombreuses années à satisfaire des besoins légitimes très similaires. Néanmoins, un porte-parole de Yahoo a indiqué à l’époque que depuis un certain temps déjà, la société n’était pas «systématiquement facturée» pour de telles demandes. Au cours du premier semestre 2019, Yahoo a acquis plus de 26000 demandes de divulgation d’informations aux États-Unis. En outre, il a acquis plus de 11 000 demandes de conservation d’informations, ou des demandes de mise à part d’un double d’informations spécifiques tandis que l’organisation des autorités obtient un processus juridique pour obtenir les informations. Le «Avis de remboursement» de Google, communiqué aux autorités policières américaines, a indiqué ces prix pour de nombreuses demandes d’informations différentes. Le porte-parole de Yahoo a informé les jours où l’entreprise n’exigerait pas de besoins dans certains cas, tels que la recherche sur la sécurité des enfants et les situations de crise effrayantes. L’application de la loi peut obtenir toutes sortes d’informations sur les utilisateurs de Google, même si les détails fournis par Yahoo dépendent du besoin légal fourni. Selon le site Web de Google, les organisations locales et gouvernementales des États-Unis peuvent demander à acquérir des informations développées dans le passé ou des informations produites en temps réel. Les citations à comparaître, par exemple, divulgueront les détails créés auparavant. Ils peuvent demander aux moteurs de recherche de divulguer le nom fourni par une personne lors de la création d’un accord Gmail avec des comptes ainsi que les accords IP utilisés pour produire le compte bancaire et s’enregistrer et indiquer. Avec ce dernier élément de détails, Yahoo fournit les heures et les dates. Un justificatif, qui concerne également les informations créées auparavant, oblige Yahoo à fournir des informations telles que les informations de requête de recherche d’un utilisateur et du contenu exclusif stocké dans un compte bancaire Google, y compris des messages Gmail, des documents, des photographies et des didacticiels vidéo You Tube.

Afghanistan: prendre l’avion est devenu dangereux

Alors que de nombreuses autorités dans une région agitée du sud de l’Afghanistan disent que l’Iran a préparé les talibans avec des missiles antiaériens, il n’existe toujours aucune résistance définitive que Téhéran soit à l’origine des nombreuses dernières destructions de You.S. et des avions afghans. Sardar Muhammad Haya, le responsable de l’application des lois gardien de la région d’Uruzgan, indique que les renseignements actuels indiquent que Téhéran équipe les Taliban de missiles antiaériens, qui peuvent viser à chasser les forces américaines d’Afghanistan. «L’Iran a donné des missiles antiaériens talibans afin de mieux cibler nos avions», a-t-il informé Stereo Free of Afghanistan. «De nombreux enregistrements de connaissances [actuels] basés sur diverses sources détaillent ce soutien.» Les talibans ont refusé l’État. L’Iran a généralement refusé d’aider militairement les insurgés afghans malgré le maintien d’un hyperlien diplomatique reconnu. Même les autorités du Ministère afghan de la sauvegarde à Kaboul sont cyniques et ne veulent pas élever l’État. Haya, néanmoins, déclare que leurs connaissances montrent que le plus récent lot de missiles iraniens a été fourni aux Taliban à l’intérieur de la province du sud-ouest de Farah, qui borde la région du Sud Khorasan dans l’est de l’Iran. Il affirme qu’ils pourraient travailler à empêcher l’utilisation de ces missiles à Uruzgan, où les Taliban gèrent de vastes étendues de zones et sont souvent en conflit avec les causes des autorités. Auparavant, des officiers supérieurs afghans avaient accusé l’Iran de soutenir les insurgés dans la région. Le législateur Amir Khan Barakzai, dans l’esprit de l’autorité locale ou du conseil provincial d’Uruzgan, déclare que l’assistance revendiquée par l’Iran pour les talibans équivaut à un effort pour fomenter une toute nouvelle étape de la guerre afghane longue de quatre décennies dans le sillage de votre contrat de paix imminent. Les talibans et U. S. signalera probablement un arrangement de sérénité après une baisse d’une semaine des épisodes. Le contrat ouvrira la voie à votre retrait des troupes américaines et à vos négociations en vue d’un accord politique durable entre les Afghans. «Grâce à différents accords bilatéraux et multilatéraux, la communauté locale du monde entier nous a promis d’éviter la perturbation de nos propres voisins proches dans nos affaires intérieures, ce qui s’est produit auparavant», a-t-il conseillé à Stereo Totally free Afghanistan. « Nous aimerions maintenant qu’ils reconnaissent leurs revendications. » Fawad Aman, porte-parole adjoint de ce ministère de la Défense, a informé Fm radio Free Afghanistan que rien de l’avion ne continue à être touché par la cheminée des insurgés étant donné le début de cette année. «Deux de nos avions se sont écrasés à Farah et dans la [province nord] de Balkh à cause de problèmes techniques», a-t-il expliqué. « Trois avions beaucoup plus cependant n’ont fait que des atterrissages urgents. »

Afrique: un exemple de croissance par le tourisme

Les voyages et les loisirs sont donc un instrument de réduction de la pauvreté et de cohésion sociale. La pauvreté abjecte dans nos régions éloignées pourrait être réduite si les voyages et les loisirs étaient produits. C’est parce que presque tous nos sites Internet d’attraction sont disséminés à l’intérieur des lieux périphériques, où la pauvreté est répandue. Les touristes dépensent pour l’hébergement, les repas, les cadeaux, etc. dans les zones arrêtées. Cependant, le fait que les touristes commencent à revenir et à dormir dans les régions métropolitaines après avoir consulté les sites Web n’augure rien de bon pour une diminution de la pauvreté. La fourniture d’installations interpersonnelles dans de tels endroits aidera pour cette raison grandement à ouvrir ces zones pour inciter les visiteurs à passer du temps dans les zones d’appel. Les vacances orientent également le quartier vers de nouvelles introductions, qui peuvent être négatives ou positives ou les deux. Le tourisme ne quitte jamais tout simplement un lieu sans développer ses empreintes à l’intérieur. De plus, cela rendra les individus conscients de leur propreté environnementale et de leurs bonnes méthodes de conservation de manière vraiment durable, car tant que la région du quartier est appropriée pour les clients, ils vont toujours y arriver et diminuer certains bonnes choses à propos de la communauté hold. Il répond aux préoccupations sociales et culturelles de la communauté locale d’une manière extrêmement bonne. Au Ghana, le tourisme en tant qu’outil de réduction de la pauvreté n’est pas incertain. Ce qui n’est pas sûr, c’est certainement la compréhension de l’industrie simplement parce que pas grand-chose au moyen de l’éducation sur ce qu’elle est réellement et n’est pas non plus n’est introduite pour trouver la communauté ghanéenne. Vacation aime beaucoup d’intérêt international en raison de sa capacité monétaire à générer des revenus importants pour les pays ainsi que de son énorme fondation de création de travail. Le potentiel du tourisme de changer les systèmes économiques en développement et de les faire passer dans des systèmes financiers à revenus moyens à l’intérieur du temps des documents n’a en aucun cas été mis en doute par les économistes et les politiciens. Les pays innovants consacrent beaucoup d’allocations financières au marché des voyages et des loisirs et reçoivent le plus grand nombre de voyageurs d’affaires qui disposent de chacun des fonds nécessaires. Ces derniers temps, la création de lieux, en particulier ceux d’Afrique, a fait du tourisme une panacée réalisable pour ses défis économiques. Parmi les pays qui ont accordé la priorité absolue aux vacances dans leur programme de développement, il convient de noter la Malaisie, le Maroc, Maurice, le Kenya, 100% voyage l’Égypte et Singapour. Ces pays investissent beaucoup dans la création de voyages et de loisirs et font des progrès. Les données montrent que le tourisme au Ghana contribue à générer près de 1,1 milliard de dollars de revenus de change, ajoutant plusieurs pour cent au poste résidentiel brut national et créant environ 220 000 emplois professionnels primaires dans tout le pays. Les vacances sont devenues une activité financière internationale importante. Dans de nombreux endroits, il offre une agriculture et une production dépassées. La diversité du climat économique du Ghana en 1985 et la nécessité de déplacer les concentrés de votre dépendance excessive du climat économique dans les produits conventionnels ont placé le domaine des voyages et des loisirs en première ligne en tant qu’exercice monétaire majeur qui a le potentiel de ressusciter les malades en général. économie. Le Ghana fournit un large éventail de sources organiques, culturelles et anciennes spéciales et intéressantes, qui peuvent être extrêmement peu développées, mais doivent être créées. En tant qu’exportation conventionnelle, le tourisme offre le potentiel de se transformer en un puissant instrument de techniques de développement professionnel. Il a la capacité de générer du travail et de l’argent. Ce possible peut être réalisé si le pouvoir d’avancement économique et interpersonnel des vacances est mobilisé avec succès pour produire des richesses et lutter contre la pauvreté dans les régions en particulier, ainsi que dans la nation dans son ensemble. L’influence bénéfique des vacances peut être évaluée en ce qui concerne les revenus en devises, l’emploi et les revenus en plus d’une préservation de la biodiversité et aussi un outil catalytique pour la croissance d’autres organisations. En effet, le secteur des voyages et des loisirs au Ghana connaît une croissance considérable depuis 1996, avec une grande influence positive à partir de l’année civile 2000. Le développement connu souligne à nouveau l’engagement du gouvernement en faveur du développement de l’industrie des vacances. Cette affirmation a été reprise par le chef de l’exécutif John Agyekum Kufuor dans son discours de section de 2005 au parlement lorsqu’il a déclaré: «Le tourisme est en fait une mine d’or qui doit être exploitée.» Les vacances au Ghana sont sans aucun doute la mine d’or inexploitée de l’économie. Bien qu’environ 80% du potentiel de voyage et de loisirs du pays reste inexploité, il s’agit de la quatrième source de devises du pays après les envois de fonds de l’étranger, de cacao et d’or. Cependant, le ministère du Tourisme et des associations de la diaspora disposera des ressources minimales. Cela a déclenché une petite publicité, un marketing médiocre, les sites ne sont généralement pas correctement créés, aucun élément de marketing, et par conséquent, le tourisme est relégué au second plan. Si l’on considère le fait avéré que les voyages et les loisirs sont la quatrième source de devises dans l’économie globale du Ghana sans les efforts déployés, imaginez ce qui pourrait arriver, si cela n’était guère motivé par le financement et l’aide.

Au début du net

Le Web est né du travail de mise en relation de différents réseaux de recherche aux États-Unis et en Europe. Initialement, la DARPA a mis en place un logiciel pour rechercher l’interconnexion de «systèmes hétérogènes». Ce programme, appelé Internetting, reposait sur l’idée nouvellement lancée d’un réseau de structures ouvertes, dans lequel les systèmes dotés d’interfaces régulières définies seraient connectés par des « passerelles ». Une illustration d’exploitation montrant le concept a été prévue. Pour s’assurer que l’idée fonctionne, un nouveau protocole devait être conçu et créé ; en effet, un système de structures était nécessaire. En 1974, Vinton Cerf, alors à l’université de Stanford en Californie, et cet auteur, alors à la DARPA, ont collaboré aux articles qui décrivaient initialement ce type de processus et d’architecture de programme, à savoir le protocole de contrôle de transmission (TCP), qui autorisait différents types de machines sur des systèmes partout dans le monde pour acheminer et assembler des paquets de données. TCP, qui comprenait à l’origine le processus Internet (IP), un mécanisme d’adressage mondial qui permettait aux routeurs d’obtenir des paquets d’informations pour leur plus grand emplacement, a formé le protocole TCP/IP régulier, qui a été adopté par la division américaine de la défense en 1980. Dans les années 1980, « l’architecture ouverte » issue de l’approche des adresses TCP/IP a été adoptée et soutenue par de nombreux autres experts et finalement par des technologues et des entrepreneurs du monde entier. Dans les années 1980, d’autres organismes gouvernementaux américains étaient fortement impliqués dans la mise en réseau, notamment la Nationwide Science Foundation (NSF), le ministère de l’Énergie, ainsi que la National Aeronautics and Space Administration (NASA). Alors que la DARPA avait joué un rôle déterminant dans la création d’une édition à petite échelle d’Internet parmi ses chercheurs, la NSF a traité avec la DARPA pour développer l’accès à l’ensemble du quartier scientifique et éducatif et également pour faire de l’adresse TCP/IP le type de chaque étude financée par le gouvernement fédéral. systèmes. En 1985-86, la NSF a financé les cinq premiers centres de calcul intensif à l’université de Princeton, à l’université de Pittsburgh, au College of Ca, à San Diego, en Californie, au College of Illinois et à l’université Cornell. Dans les années 1980, la NSF a également financé le développement et la procédure du NSFNET, un réseau national de « colonne vertébrale » pour connecter ces centres. Depuis la fin des années 1980, le réseau fonctionnait à des millions de pièces par seconde. La NSF a également financé divers systèmes locaux et régionaux à but non lucratif pour connecter d’autres clients au NSFNET. Quelques réseaux industriels ont également commencé dans les années 1980 tardives; d’autres personnes en sont rapidement devenues membres, et le Commercial Internet Exchange (CIX) a été formé pour permettre le trafic de transport entre les réseaux commerciaux qui, autrement, n’auraient pas été autorisés sur le réseau fédérateur NSFNET. En 1995, juste après un examen approfondi de la situation, la NSF a décidé que l’aide des installations NSFNET n’était plus nécessaire, car de nombreux fournisseurs commerciaux étaient désormais prêts à répondre aux exigences du quartier de la recherche, et son aide a été retirée. . Pendant ce temps, la NSF a favorisé une variété agressive de dorsales Internet commerciales connectées les unes aux autres par le biais de facteurs d’accessibilité réseau (NAP). Depuis l’origine de votre Internet au début des années 70, le contrôle sur celui-ci est progressivement passé de l’intendance du gouvernement fédéral à la participation du secteur privé et enfin à la garde privée avec la surveillance et l’abstention du gouvernement. Aujourd’hui, un nombre vaguement organisé de plusieurs milliers de personnes intéressées, appelé Internet Engineering Task Pressure, participe à un processus de développement de base pour les normes Web. Les normes Web sont maintenues par Internet Culture à but non lucratif, un organisme international dont le siège social est situé à Reston, en Virginie. La Web Company for Designated Names and Figures (ICANN), une autre organisation privée à but non lucratif, seo supervise divers éléments du plan concernant les noms de domaine et les figures Web. L’augmentation des services et programmes Web commerciaux a contribué à alimenter une commercialisation rapide à partir du Web. Cette tendance était également le résultat d’un certain nombre d’autres facteurs. Un seul aspect essentiel était le développement de l’ordinateur individuel ainsi que du poste de travail au début des années 1980 – une amélioration qui à son tour a été alimentée par une amélioration sans précédent de la technologie des circuits intégrés ainsi que par une baisse rapide des coûts informatiques. Un autre aspect, qui a pris une importance croissante, a été l’apparition d’Ethernet et d’autres « réseaux locaux » pour lier des ordinateurs personnels par hyperlien. Mais d’autres forces avaient également été à l’œuvre. Suite à la restructuration d’AT&T en 1984, NSF avait profité de plusieurs nouveaux choix pour les services de dorsale électronique de niveau national pour votre NSFNET. En 1988, la Corporation for National Study Projects a obtenu l’autorisation de mener une expérience de connexion d’un service de courrier électronique professionnel (MCI Mail) à Internet. Cette application était la première connexion Web à un fournisseur industriel qui ne faisait pas également partie de la communauté d’étude. L’approbation a été rapidement mise en œuvre pour permettre l’accès à d’autres fournisseurs de courrier électronique, et le Web a commencé son explosion initiale de visiteurs.

Les performances bancaires

De nombreux pays ont désormais adopté des taux d’intérêt nominaux négatifs. La colonne utilise des données sur 5 000 banques touchées par cette politique pour conclure que, bien que leur revenu net n’ait pas diminué, les stratégies visant à augmenter les revenus autres que d’intérêts ne sont probablement pas durables. Par conséquent, nous ne pouvons pas supposer que les performances et les prêts des banques se poursuivront aux niveaux actuels pendant de longues périodes de taux directeurs négatifs.
La décision de la Danmarks Nationalbank d’abaisser son taux directeur sous zéro en juillet 2012 a été une extension importante de la politique monétaire. Nous avons eu des politiques monétaires non conventionnelles, telles que l’assouplissement quantitatif et les orientations prospectives, depuis la crise mondiale de 2008, mais les taux d’intérêt nominaux négatifs au Danemark ont ​​représenté un bond sans précédent au-delà de la mythique limite inférieure du zéro (ZLB). Bien sûr, le ZLB s’est ensuite révélé assez poreux, la Suisse, la Suède, la zone euro et le Japon ayant également adopté des taux négatifs. Cependant, avant cette exploration en territoire négatif, on craignait que les institutions financières – les banques de dépôt en particulier – ne soient considérablement et négativement affectées par des taux directeurs négatifs.
Un certain nombre d’études antérieures ont révélé que les banques rencontraient des difficultés lorsque les taux étaient bas, bien que positifs. Par exemple, Borio et al. (2017) ont constaté que les banques étaient moins rentables à des taux d’intérêt bas et que la sensibilité de la rentabilité aux réductions de taux augmente à mesure que les taux d’intérêt baissent. Claessens et al. (2018) ont trouvé des résultats similaires, entraînés par des réductions des marges nettes d’intérêt. Borio et Gambacorta (2017) ont également constaté que les prêts bancaires deviennent moins réactifs aux réductions des taux directeurs lorsque ces taux approchent de zéro, ce qui suggère que le canal financier du mécanisme de transmission monétaire est plus faible à ce stade.
Maintenant que les banques ont effectivement connu des taux négatifs dans un certain nombre de pays, nous pouvons évaluer leur capacité relative à faire face aux défis du franchissement de la ZLB. En particulier, nous pouvons observer comment les banques ont réagi à ces politiques, et les implications de ces réponses pour le canal de transmission financière de la politique monétaire.
Nos recherches sur cette question (Lopez et al. 2018) suggèrent que les banques ont été capables de faire face relativement bien à des taux d’intérêt négatifs, même si nous devrions nous interroger sur la durabilité de leurs stratégies sur des périodes plus longues si les taux restent négatifs. Notre analyse examine les données annuelles des bilans de plus de 5 000 banques dans l’UE et au Japon entre 2010 (avant les taux nominaux négatifs) et 2016 (l’année la plus récente disponible pour toutes les banques).
Un large échantillon de banques dans 14 devises nous permet d’examiner une variété de pays qui sont devenus négatifs à différents moments et pour différentes raisons. Nous comparons également la fortune de ces banques avec des institutions de pays similaires qui n’ont pas connu de taux négatifs au cours de notre période d’échantillonnage.
Les rôles compensatoires des revenus d’intérêts et autres que d’intérêts
Le revenu net bancaire global – revenu bancaire total moins dépenses – ne semble pas être affecté par des taux d’intérêt nominaux négatifs, du moins par rapport à des taux positifs faibles. Cette constatation corrobore les résultats d’études antérieures, largement fondées sur des échantillons de banques relevant d’un régime de monnaie unique. Par exemple, les recherches de Basten et Mariathasan (2018) sur les banques suisses. De plus, par rapport aux études précédentes, notre échantillon compte davantage de petites banques (par taille d’actif) et davantage de banques qui dépendent fortement du financement par les dépôts (banques à hauts dépôts). Les banques de ces deux catégories affirment être plus exposées aux pertes en cas de taux d’intérêt négatifs.
Mais des données plus détaillées sur les revenus et le bilan révèlent des effets notables en dessous de ce chiffre de revenu global. La figure 1 montre les ratios implicites de notre modèle des revenus nets d’intérêts et des revenus nets autres que d’intérêts, par rapport au total des actifs, pour les banques de notre échantillon pendant les périodes de taux directeurs positifs (les barres bleues) et de taux négatifs (les barres oranges).
Les banques ont connu des baisses importantes de leurs revenus nets d’intérêts. Il s’agit du revenu des prêts et des avoirs obligataires moins les dépenses telles que les intérêts payés sur les dépôts et autres dettes impayées ; comme le montre la figure, la baisse est passée de 0,02 % du total des actifs à -0,03 %. Notamment, les banques n’ont pas sensiblement réduit les frais de dépôt, conformément à l’hypothèse selon laquelle les taux de dépôt nominaux sont rigides à zéro. La réduction des revenus d’intérêts en cas de taux d’intérêt négatifs était différente selon la taille des banques. Les grandes banques (plus de 10 milliards de dollars d’actifs) semblent plus capables de réduire leurs frais de dépôt, tandis que les variations des frais de dépôt des petites banques ont été insignifiantes.
Les banques ont atténué les pertes sur les revenus nets d’intérêts en générant des augmentations significatives des revenus nets autres que d’intérêts. Comme le montre le graphique, ce ratio de revenu est passé à 0,04 % en cas de taux directeurs négatifs, contre -0,01 % en cas de taux positifs. Ces augmentations sont attribuables presque entièrement à l’augmentation des revenus autres que d’intérêts, des frais et d’autres sources comme les gains en capital et les gains sur valeurs mobilières. Là encore, les grandes banques ont mieux réussi à réduire leurs dépenses autres que d’intérêts, comme les salaires, que leurs homologues plus petites.
Ces résultats suggèrent que les banques ont ajusté leurs opérations pour compenser la baisse attendue des revenus d’intérêts en cas de taux négatifs en générant des revenus autres que d’intérêts supplémentaires. Cela est particulièrement vrai pour les banques particulièrement petites et plus dépendantes des dépôts. Ces ajustements ont maintenu leurs niveaux de revenu, mais la question reste ouverte de savoir si cela est durable.
En particulier, les plus-values ​​sur les titres lorsque les taux directeurs tombent en dessous de la borne zéro ont peu de chances de perdurer simplement parce que les taux restent négatifs. Comme indiqué dans le rapport du Comité sur le système financier mondial (CGFS 2018), les banques devraient continuer à apporter des changements structurels à leurs opérations pour répondre à l’effet des taux négatifs sur la rentabilité des banques. La santé et la viabilité des banques et des autres sociétés financières sont les principaux moteurs de la macroéconomie et de la politique monétaire, et les résultats suggèrent qu’il vaut mieux rester prudent dans notre optimisme quant à leur viabilité continue avec des taux négatifs.
Nos résultats reflètent ceux d’études antérieures sur les taux bas et suggèrent que les banques ont raisonnablement bien résisté à des taux d’intérêt nominaux négatifs. Mais l’augmentation des revenus hors intérêts dont bénéficient les banques en cas de taux négatifs peut être insoutenable. Les plus-values ​​sur titres à la suite de surprises négatives sur les taux d’intérêt ne devraient pas durer longtemps.
Néanmoins, les inquiétudes concernant le canal financier de la transmission monétaire ne se sont pas concrétisées, ce qui va à l’encontre de la nécessité d’ajuster nos hypothèses de politique monétaire à long terme. Nous recommandons toutefois la prudence avant de conclure que la performance et les prêts des banques sont durables sur de longues périodes de taux directeurs négatifs ou faibles pour longtemps.

Dévoiler une nouvelle société

Une conférence internationale a été organisée pour présenter à tous une toute nouvelle découverte archéologique. La découverte de la nouvelle tradition suggère des processus d’innovation et de diversité sociale se produisant dans les pays d’Asie orientale pendant une période d’hybridation héréditaire et culturelle. Bien que des recherches antérieures aient reconnu que l’Homo sapiens est arrivé en Asie du Nord il y a environ 40 000 ans, beaucoup de choses concernant les modes de vie et les adaptations sociales de ces premiers peuples, ainsi que leurs interactions possibles avec des groupes archaïques, restent non identifiées. Dans la recherche de réponses, le bassin de Nihewan, dans le nord de l’Extrême-Orient, avec sa profusion de sites archéologiques dont l’âge varie de 2 000 à 10 000 ans, offre l’une des meilleures possibilités de connaître l’évolution du comportement social en Asie du Nord-Est. Un tout nouvel article publié dans la revue Mother nature décrit une tradition particulière vieille de 40 000 ans sur le site de Xiamabei, dans le bassin de Nihewan. Grâce à la toute première preuve reconnue du traitement de l’ocre dans les pays d’Asie de l’Est et à des ressources rocheuses distinctes ressemblant à des lames, le site de Xiamabei présente des expressions sociales distinctes ou exceptionnellement rares en Asie du Nord-Est. Grâce à la collaboration d’un groupe mondial de chercheurs, la recherche sur les découvertes offre de nouvelles perspectives essentielles sur l’évolution sociale au cours de l’expansion des communautés d’Homo sapiens. « Xiamabei se distingue de tout autre site archéologique reconnu en Extrême-Orient, car il possède un ensemble innovant de qualités sociales à une date précoce », déclare le Dr. Fa-Gang Wang, de l’Institut provincial des reliques sociales et de l’archéologie du Hebei, dont le groupe a été le premier à fouiller le site. « La capacité des hominines à vivre dans les latitudes nord, dans des environnements froids et extrêmement périodiques, a probablement été facilitée par le développement de traditions sous la forme d’adaptations économiques, interpersonnelles et symboliques », explique le docteur Wang. Shixia Yang, spécialiste de l’Académie orientale des sciences et de l’Institut Max Planck pour la science de l’histoire humaine, à Iéna, en Allemagne. « Les découvertes faites à Xiamabei nous aident à comprendre ces adaptations ainsi que leur rôle possible dans les migrations humaines ». Parmi les importantes fonctions culturelles disponibles à Xiamabei figure l’utilisation substantielle de l’ocre, comme le montrent les artefacts utilisés pour traiter de grandes quantités de pigment. Les artefacts comprennent deux morceaux d’ocre avec différentes compositions nutritives et une dalle calcaire allongée avec des zones lissées portant des taches d’ocre, le tout sur une surface de sédiment teintée en rouge. L’évaluation des experts de votre Collège de Bordeaux, dirigée par le professeur Francesco d’Errico, indique que différents types d’ocre ont été transportés à Xiamabei et raffinés par pilonnage et abrasion pour créer des poudres de couleur et de consistance différentes, dont l’utilisation a imprégné le sol de l’habitation. La production d’ocre à Xiamabei est l’illustration la plus ancienne de cette pratique dans les pays d’Asie orientale. Les ressources rocheuses de Xiamabei témoignent d’une adaptation culturelle innovante pour le nord de l’Extrême-Orient, il y a 40 000 ans. Comme on sait peu de choses sur les industries de fabrication d’outils en pierre en Asie de l’Est jusqu’à ce que les microlames deviennent la technologie dominante il y a environ 29 000 ans, les découvertes de Xiamabei fournissent des informations importantes sur les industries de fabrication d’outils pendant une importante période de transition. Les ressources rocheuses en forme de lame de Xiamabei étaient uniques pour la région, la grande majorité des outils étant miniaturisés, plus de la moitié mesurant moins de 20 millimètres. 7 des ressources en pierre ont démontré la preuve évidente d’un hfting à gérer, et l’évaluation fonctionnelle et des résidus suggère que les ressources ont été utilisées pour le grattage terne et caché, le taillage de matériel végétal et la coupe de la question animale douce. Les occupants du site ont créé des outils à manche et à usages multiples, démontrant un système technique complexe de transformation des matériaux non cuits, que l’on ne retrouve pas sur des sites plus matures ou légèrement plus jeunes. Les données recueillies en Asie de l’Est montrent qu’un certain nombre d’adaptations ont eu lieu lorsque les humains contemporains sont arrivés sur le site il y a environ 40 000 ans. Bien qu’aucun hominine ne soit encore disponible à Xiamabei, la présence de fossiles humains contemporains dans le site moderne de Tianyuandong et les sites légèrement plus jeunes de Salkhit et Zhoukoudian Top Cave, montre que les visiteurs de Xiamabei étaient des Homo sapiens. Une technologie lithique diversifiée et la présence de certaines améliorations, comme des ressources en forme de manche et le traitement de l’ocre, mais pas d’autres améliorations, comme des ressources officielles en tissu osseux ou des décorations, pourraient refléter une tentative de colonisation antérieure par des personnes contemporaines. Cette période de colonisation a pu inclure des échanges génétiques et culturels avec des organisations archaïques, comme les Denisovans, avant d’être finalement modifiée par des vagues ultérieures d’Homo sapiens utilisant des technologies de microlames. Compte tenu de la nature maternelle distinctive de Xiamabei, les auteurs du nouvel article débattent que le dossier archéologique ne correspond pas au concept d’innovation sociale constante, ou d’un groupe d’adaptations entièrement créé qui a permis aux premiers hommes de se développer hors d’Afrique et dans le monde entier. Les auteurs estiment plutôt que nous devrions nous attendre à découvrir une mosaïque de modèles d’innovation, avec la diffusion d’innovations antérieures, la détermination de coutumes locales, ainsi que la création locale de toutes nouvelles méthodes, le tout dans une phase de transition. « Nos résultats révèlent que les situations actuelles de l’évolution sont trop simples », déclare le professeur Michael Petraglia de l’Institut Maximum Planck à Iéna, « et que les humains contemporains, et notre culture, ont fait surface par le biais d’instances répétitives mais variables d’échanges héréditaires et interpersonnels sur de grandes zones géographiques, plutôt que sous la forme d’une vague unique et rapide de dispersion à travers l’Asie. »